Semaine de la sécurité

Défenseur(euse) ≠ Spectateur(trice)

Semaine printanière de la sécurité — Du 8 au 12 avril 2024

Avez-vous déjà entendu parler du phénomène que nous appelons « La folie de mars »? Une telle « folie » est une réalité statistique qui fait référence à une augmentation des comportements négatifs chez nos jeunes. Vous avez le pouvoir d’impacter positivement n’importe quelle situation. Rejoignez une communauté qui valorise la sécurité avant toute autre chose dans la vie! 

MYTHE :

Lorsque vous êtes témoin d'intimidation, de harcèlement, d'abus ou d'une personne stressée, vous ne devez pas intervenir dans la situation.

FAIT : 

La sécurité est toujours notre priorité! Il existe des moyens de soutenir les personnes en détresse. Animateurs, rappelez-vous de ce que vous avez appris du cours Respect et sport pour animateurs d’activités et partagez-le avec vos groupes. La soumission de rapports d'incident ne vous causera pas d'ennuis. Au contraire, vous contribuerez à renforcer la culture de la sécurité.

Pendant la Semaine de la sécurité, nous proposerons des outils pour aider les scouts à apprendre à être plus attentifs à leurs émotions et à leurs actions et à celles des autres, en favorisant plus d'harmonie et d'empathie au sein des groupes.

Notre nouveau partenariat avec Busy Minds Ed. emphasizes souligne l'importance du bien-être mental à travers des activités telles que la méditation, le yoga et la pleine conscience. Explorez et utilisez les ressources suivantes :

Commentez sur les réseaux sociaux comment cela a fonctionné pour vous! Partagez vos photos en identiquetant : #safetyweek2024 

Les animateurs Ken et Mike sont rejoints par Michelle Faber, fondatrice de Busy Minds Ed., pour une discussion en direct sur la pleine conscience, son importance pour la santé mentale et la manière dont Scouts Canada s'associe à Busy Minds pendant cette semaine de la sécurité.


Le cerveau victime d’intimidation : La présentation de Jennifer Fraser se concentre sur l'intimidation et les comportements agressifs liés au cerveau stressé. Elle examine cette conduite négative d’un point de vue médical plutôt que moral et des facteurs de la science du cerveau pour mettre en œuvre des moyens fondés sur des preuves pour y remédier.